Février 2011, comme tous les févriers québécois, porte à la déprime. Beaucoup en ont assez de l’hiver. La neige, si belle en décembre, devient quasi insupportable. Si la température monte de quelques degrés, aussitôt émergent de la neige fondante un vieux sac de croustilles, un papier-mouchoir, un gant, mille et une chose perdues, échappées, abandonnées […]